mondialisationeedd Exposé de troisième
Second trimestre


Mondialisation et développement durable
Consignes
1. Par des lectures dans la presse, choisissez un article dans un journal local, national ou international dégageant les deux thèmes de l'exposé,
2.Définisez en dix lignes chacun des deux termes,
3. Présentez le journal retenu
4. Dégagez dans l'article choisi les idées liées à ces deux termes,
5. Dégagez dans l'article le lien qui existe entre la mondialisation et le développement durable,
6. En 10 lignes, donnez un avis de citoyen sur le sujet que vous avez présenté.

Nom Prénom classe  titre du journal et thème
Alexandre Basile C
Alves Flavien C
Aranda Olivier C
Bertrand Fabien C
Chipon Justine C
Contré Jade C
Cotty Marine C
Coutris Colette C
Crespin Hugo C
Crosnier Manon C
Galhardo Sarah C
Guéguinou Léa C
Laouar Méghann C
Marchais M Maud C
Nasr Nathalie C
Pilatte Malaurie C
Renard Paul C
Réty Maxime C
Roland Flavia C
Sivadon Laure C
Tobie Coralie C
Van Sevenandt Agathe C
Young Kévin C
Bars  Sarah B
Bré Maël B
Callot Martin B
Chauvineau Clémence B
Cotty Antoine B
De Jesus Abel B
Dorn Bérénice B
Fradet Audrey B
Galhardo Anouchka B
Giacomoni Josepha B
Huard Margot B
Joffres Martin B
Larrat Anne B
Lavenne Romain B
Moreau Timothée B
Porcheron Romain B
Ramalho Daniela B
Rivière Quentin B
Sallé Mélanie B
Saulou Baptiste B
Sawaryn Johanna B
Touchon François B

EXEMPLE DE PRODUCTION
Europe Définition de la mondialisation
Définition du développement durable
SUÈDE •  Le business de la chasse à l’élan Présentation du journal : Fokus
Dégagez dans l'article choisi les idées liées à ces deux termes,
Malgré la mondialisation et les hypermarchés, la chasse et la cueillette n’ont pas complètement disparu de Suède. Quelques centaines de milliers de chasseurs d’élans battent régulièrement la campagne. Avant l’ouverture de la chasse, au mois de septembre, on compte près de 350 000 élans en Suède, la première population au monde. Près de 90 000 d’entre eux sont abattus chaque année par environ 250 000 chasseurs. Chaque animal pesant en moyenne 130 kilos, la production annuelle de viande s’élève à près de 12 000 tonnes.
Si l’on admet un prix moyen de 40 couronnes le kilo de viande [4,30 euros], le produit de la chasse se monte à environ 500 millions [50 millions d’euros] par an. Aucun autre animal ne génère autant de revenus. Pourtant, la majeure partie sera consommée par les chasseurs eux-mêmes. Notamment parce que la viande doit être inspectée avant de pouvoir être commercialisée. Lena Tuuri, une des rares femmes à chasser l’élan, à Alvsbyn, dans le Norrbotten [extrême nord-est de la Suède], ne déroge pas à la règle. Elle mange la plus grande partie de la viande en famille. Elle en offre également. “C’est un cadeau très apprécié”, assure-t-elle.
Mais la viande n’est pas la priorité des chasseurs. Pour Leif Mattsson, professeur à l’Université suédoise des sciences de l’agriculture, qui étudie l’importance du gibier sur la macroéconomie du pays. C’est avant tout pour se détendre que les Suédois pratiquent la chasse. Mais c’est un loisir coûteux. Si l’on compte le permis de chasse, la carte annuelle, le fusil, les vêtements, la taxe d’abattage, le bail à verser au propriétaire du terrain si l’on n’en possède pas soi-même, l’essence pour se rendre sur place, la radio, et ainsi de suite, chaque élan abattu coûte une petite fortune. “Mais on ne regarde pas vraiment les choses sous l’angle financier”, commente Lena Tuuri.
Néanmoins, il est possible de tirer de l’argent de la chasse sans s’y adonner soi-même. Le tourisme de chasse est en plein essor. Une étude du Nutek [l’agence pour le développement économique] a montré qu’en 2003 la Suède comptait près de 260 sociétés spécialisées. Les amateurs allemands et italiens n’hésitent pas à débourser plusieurs milliers d’euros pour pouvoir venir abattre un spécimen du roi de la forêt. La chasse permet également de limiter les dégâts du gibier sur la forêt, car les élans ont un penchant pour les jeunes pousses de sapin. Les sociétés forestières font donc pression pour que l’on augmente les taux de prélèvement. Mais l’exploitation forestière est la dernière chose à laquelle Lena Tuuri songe lorsqu’elle part chasser l’élan. “On est incroyablement concentré. On est incapable de détourner son esprit de l’animal. Et, en même temps, c’est un jeu entre l’élan et moi pour savoir qui sortira vainqueur.”

 Dégagez dasn l'article le lien qui existe entre la mondialisation et le développement durable,
























 En 10 lignes, donnez un avis de citoyen sur le sujet que vous avez présenté.
Johan Bahlenberg
Fokus
               




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